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Être Prête Ce n’est pas être préparée ; Ce n’est pas avoir tout prévu ; Cela est impossible ; Personne ne peut le faire. La vie est trop grande, trop inconnue encore, pour que l’homme puisse dire : "Je sais ce qui m’attend ; je veux me préparer. " Elle est trop forte aussi. Elle vient avec une brusquerie, (…)
Baden-Powell a écrit cette lettre d’adieu à tous les scouts du monde. Elle devait être publiée après sa mort.
Un beau texte de Robert Lamoureux, écrit à l’attention de tous les admirateurs qui le croisaient à la fin de ses concerts et le trouvaient fatigué et ayant mauvaise mine.
Tu peux le lire à beaucoup d’occasions, en particulier en camp à la fin d’une journée éprouvante.
Comme je marchais sur la plage au soir de ma vie, je me suis retourné, Et j’ai vu sur le sable l’empreinte de mes pas. Chaque pas était un jour de ma vie et ils étaient tous là, Je les ai tous comptés et reconnus… Du plus loin que j’ai vu, à coté de mes traces S’imprégnait une trace jumelle, C’étaient les pas (…)
Voici le dernier message de Lady Olave Baden Powell, s’adressant aux Guides du monde entier et enregistré le 12 novembre 1973.
Sur la place des lavandières travaillaient trois tailleurs de pierre. Un voyageur ? passant par là leur demanda : « Que faites-vous là ? » Le premier dit, furieux sans doute : « vous ne voyez pas, je gagne ma croûte ! « le second dit, frappant la pierre : « bein vous voyez, j’taille des pierres ! ». (…)
Répands la joie... Répands la joie sur ton chemin, sur nos chemins. Dis, ne veux-tu pas répandre la joie ? Oh ! oui, je le veux bien, mais d’où prendre la joie ? Je connais un pays ; il se nomme la Loi. Dans ce pays habitent la Vérité, la Volonté, l’Intelligence, la Beauté, la Bonté et la Joie. Commence par la (…)
Tout au long d’un camp, et aussi en particulier au cours d’un projet aîné, on rencontre des gens qui sont pour nous, au début, semblables à des milliers d’autres et qu’on finit pourtant par connaître. Nous nous apprivoisons mutuellement, pour découvrir les inépuisables trésors de l’amitié.
Ils reprirent tous deux leur marche. Après un long moment, François demanda à Léon : - Sais-tu, frère, ce qu’est la pureté du coeur ? - C’est ne pas avoir de faute à se reprocher, répondit Léon sans hésiter. - Alors, je comprends ta tristesse, dit François. Car on a toujours quelque chose à te reprocher. - (…)
"Pourquoi faites vous ça ? Pourquoi, du haut de vos 20 ans, presqu’encore des enfants, travaillez-vous si dur, autant d’heures, pour des gens que vous ne connaissez pas et que vous ne reverrez probablement jamais ? Pourquoi donc faites-vous cela ?", leur demandez-vous. Ils sourient. Tous. "Parce que !" (…)
Demain nous partirons ! Demain c’est le départ ! Il y a si longtemps que nous attendons ce jour. Tout l’hiver, nous l’avons attendu. Demain nous partions et ce sera le bond dans l’espace et la lumière. Je me réjouis ! Oublier la ville, les maisons, les chambres étroites, l’asphalte éblouissant, le bruit des rues (…)
Malheureusement il arrive que la guerre fasse l’actualité. Voici quelques sources pour trouver comment aborder ce sujet avec tes jeunes.
C’est un article écrit par Thibault, jeune participant à Connecte.
Here is the English original version of Lady Olave Baden Powell’s message for the thinking day on february 22nd.
Voici un joli texte qui peut amener à la réflexion et au débat dans ton unité. On n’est pas forcément d’accord avec, là n’est pas la question, et c’est justement ce qui est intéressant.
This is Lady Olave Baden-Powell’s Last Message to Guides all over the world and recorded november 12th,1973
Seigneur, réconcilie-moi avec moi-même. Comment pourrai-je rencontrer et aimer les autres si je ne me rencontre et ne m’aime plus ? Seigneur, toi qui m’aimes tel que je suis et non tel que je me rêve, aide-moi à accepter ma condition d’homme limité mais appelé à se dépasser. Apprends-moi à vivre avec mes (…)
Invictus est un court poème de l’écrivain William Ernest Henley qui fut cité à de très nombreuses reprises dans la culture populaire et qui contribua à le rendre célèbre.
C’était le poème préféré de Nelson Mandela
Sans le pardon, la terre des hommes serait pareillement invivable. Nos fautes, nos péchés, tout le mal qui sort de nous s’entasserait, rendant impossible toute cohabitation. Plus grave encore, le mal fait aux autres, ou celui qu’ils nous ont fait, nous entraînerait inéluctablement dans le cercle (…)
En 1926, les déléguées de la 4ème Conférence mondiale ont convenu que le 22 février serait reconnu comme une journée spéciale pour les guides et les éclaireuses du monde entier.
Tout le monde dit toujours à ses amis qu’ils seront "Meilleurs amis pour toujours", mais combien de temps cela dure-t-il ? Vous pouvez être "Best friends" pendant un an, très bons amis l’autre année, ne pas vous parler souvent l’année suivante et ne plus vous parler du tout l’autre année après ! Alors, je (…)
Navigateur chilien, Felipe Cubillos (décédé en 2011) a écrit ce texte quelques heures avant de franchir la ligne d’arrivée de son Tour du Monde à la voile. Il y décrit de façon simple ce qu’il a appris de ce tour du monde et donne à ses lecteurs ce qu’on pourrait appeler des leçons de vie, tirées de sa propre expérience.
Le texte d’origine étant en espagnol, sa traduction est approximative.
La guerre la plus dure, c’est la guerre contre soi-même. Il faut arriver à se désarmer. J’ai mené cette guerre pendant des années, elle a été terrible. Mais je suis désarmé. Je suis désarmé de la volonté d’avoir raison, de me justifier en disqualifiant les autres. Je ne suis plus sur mes gardes, jalousement (…)
Les 8 et 9 mai se sont déroulées les Journées Nationales (JN) des Scouts Unitaires de France ! Des chefs de groupe, des aînés, des chefs, des cheftaines et des aumôniers de toute la France étaient donc présents, et c’est à plus de 1300 qu’ils se sont rassemblés au château de Keronic à Pluvigner (56) en Bretagne pour échanger, s’amuser et participer à l’assemblée générale.
Tout d’abord, j’essaierais de commettre plus d’erreurs, je n’essaierais pas d’être si parfait. Je me relaxerais plus. Je serais plus fou que ce que j’ai été. Je prendrais très peu de choses au sérieux. Je serais moins hygiénique. Je courrais plus de risques, je ferais plus de voyages. Je contemplerais plus (…)