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Comme je marchais sur la plage au soir de ma vie, je me suis retourné, Et j’ai vu sur le sable l’empreinte de mes pas. Chaque pas était un jour de ma vie et ils étaient tous là, Je les ai tous comptés et reconnus… Du plus loin que j’ai vu, à coté de mes traces S’imprégnait une trace jumelle, C’étaient les pas (...)

Répands la joie... Répands la joie sur ton chemin, sur nos chemins. Dis, ne veux-tu pas répandre la joie ? Oh ! oui, je le veux bien, mais d’où prendre la joie ? Je connais un pays ; il se nomme la Loi. Dans ce pays habitent la Vérité, la Volonté, l’Intelligence, la Beauté, la Bonté et la Joie. Commence par la (...)

Tout le monde dit toujours à ses amis qu’ils seront "Meilleurs amis pour toujours", mais combien de temps cela dure-t-il ? Vous pouvez être "Best friends" pendant un an, très bons amis l’autre année, ne pas vous parler souvent l’année suivante et ne plus vous parler du tout l’autre année après ! Alors, je (...)

Être Prête Ce n’est pas être préparée ; Ce n’est pas avoir tout prévu ; Cela est impossible ; Personne ne peut le faire. La vie est trop grande, trop inconnue encore, pour que l’homme puisse dire : "Je sais ce qui m’attend ; je veux me préparer. " Elle est trop forte aussi. Elle vient avec une brusquerie, (...)

Dieu, Notre Père, nous voici réunis pour te prier. Nous t’appelons « Notre Père » comme Jésus nous l’a appris, et pourtant nous continuons si souvent de te prendre pour autre chose que ce que tu es, et de nous faire un Dieu à notre idée. C’est difficile de vivre dans l’amitié, car l’amitié est exigeante. Alors. (...)

Baden-Powell a écrit cette lettre d’adieu à tous les scouts du monde. Elle devait être publiée après sa mort.

Notre Dame du silence. Confiant en ta maternelle sollicitude, je te demande la grâce du silence. Notre Dame du silence, toi qui accueillis la puissance de l’Esprit pour donner chair à la Parole de Dieu, accorde-moi le silence de l’humilité qui permet à l’Amour de s’incarner, dans tous les gestes de ma vie (...)

Qui es-tu, toi que je croise comme un étranger, toi que j’épie, comme un chat regarde un chien ? Seras-tu pour moi un piège, ou un soutien ? Qui es-tu toi que je heurte chaque jour en passant comme un meuble ? Qui es-tu toi qui grandit, travaille, se réjouit, ou pleure à côté de moi ? Qui es-tu toi que je (...)

Aime le silence. Mets-toi à son école. Il est ton maître. Il t’apprendra à regarder l’icône de Jésus Christ, il t’apprendra à accommoder les yeux de ton coeur à ce visage de Dieu qui te révèle ton propre visage et de celui de l’homme. Aime le silence. Mets-toi à son école. Il est ton Maître. il t’apprendra à (...)

Dans la Bible, le désert évoque déjà des images contradictoires. Terre de malédiction où la vie est rare et où l’homme survit difficilement il est le lieu symbolique des bêtes malfaisantes. des forces hostiles, des démons, de la mort. Mais, paradoxalement, le désert est aussi dans la conscience collective du (...)

Tout au long d’un camp, et aussi en particulier au cours d’un projet aîné, on rencontre des gens qui sont pour nous, au début, semblables à des milliers d’autres et qu’on finit pourtant par connaître. Nous nous apprivoisons mutuellement, pour découvrir les inépuisables trésors de l’amitié.

Sur la place des lavandières travaillaient trois tailleurs de pierre. Un voyageur ? passant par là leur demanda : « Que faites-vous là ? » Le premier dit, furieux sans doute : « vous ne voyez pas, je gagne ma croûte ! « le second dit, frappant la pierre : « bein vous voyez, j’taille des pierres ! (...)

C’est un article écrit par Thibault, jeune participant à Connecte.

Voici le dernier message de Lady Olave Baden Powell, s’adressant aux Guides du monde entier et enregistré le 12 novembre 1973.

Demain nous partirons ! Demain c’est le départ ! Il y a si longtemps que nous attendons ce jour. Tout l’hiver, nous l’avons attendu. Demain nous partions et ce sera le bond dans l’espace et la lumière. Je me réjouis ! Oublier la ville, les maisons, les chambres étroites, l’asphalte éblouissant, le bruit des (...)

Ils reprirent tous deux leur marche. Après un long moment, François demanda à Léon : - Sais-tu, frère, ce qu’est la pureté du coeur ? - C’est ne pas avoir de faute à se reprocher, répondit Léon sans hésiter. - Alors, je comprends ta tristesse, dit François. Car on a toujours quelque chose à te reprocher. - (...)

La guerre la plus dure, c’est la guerre contre soi-même. Il faut arriver à se désarmer. J’ai mené cette guerre pendant des années, elle a été terrible. Mais je suis désarmé. Je suis désarmé de la volonté d’avoir raison, de me justifier en disqualifiant les autres. Je ne suis plus sur mes gardes, jalousement (...)

Sans le pardon, la terre des hommes serait pareillement invivable. Nos fautes, nos péchés, tout le mal qui sort de nous s’entasserait, rendant impossible toute cohabitation. Plus grave encore, le mal fait aux autres, ou celui qu’ils nous ont fait, nous entraînerait inéluctablement dans le cercle (...)

Seigneur, réconcilie-moi avec moi-même. Comment pourrai-je rencontrer et aimer les autres si je ne me rencontre et ne m’aime plus ? Seigneur, toi qui m’aimes tel que je suis et non tel que je me rêve, aide-moi à accepter ma condition d’homme limité mais appelé à se dépasser. Apprends-moi à vivre avec mes (...)

Here is the English original version of Lady Olave Baden Powell’s message for the thinking day on february 22nd.

This is Lady Olave Baden-Powell’s Last Message to Guides all over the world and recorded november 12th,1973

En 1926, les déléguées de la 4ème Conférence mondiale ont convenu que le 22 février serait reconnu comme une journée spéciale pour les guides et les éclaireuses du monde entier.

Youth is not a time of life; it is a state of mind; it is not a matter of rosy cheeks, red lips and supple knees; it is a matter of the will, a quality of the imagination, a vigor of the emotions; it is the freshness of the deep springs of life. Youth means a temperamental predominance of courage over timidity (...)

Invictus est un court poème de l’écrivain William Ernest Henley qui fut cité à de très nombreuses reprises dans la culture populaire et qui contribua à le rendre célèbre.
C’était le poème préféré de Nelson Mandela

Un beau texte de Robert Lamoureux, écrit à l’attention de tous les admirateurs qui le croisaient à la fin de ses concerts et le trouvaient fatigué et ayant mauvaise mine.
Tu peux le lire à beaucoup d’occasions, en particulier en camp à la fin d’une journée éprouvante.